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Logée au dernier niveau de l’Hôtel Spontin, sous une splendide charpente XVIIIe, la collection de ferronnerie évoque, à travers des centaines de pièces de quincaillerie, outils, maquettes, photos, tableaux, statues et objets anciens, les riches années de l’histoire industrielle de Bouillon à laquelle est étroitement associée la célébration du culte de Saint-Eloi.
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Le dernier né des départements du musée
Né au début des années 1980, ce département s’est vite révélé incontournable dans le parcours de visite pour qui veut découvrir l’histoire de la ville dans son époque la plus récente. Très importante sur le plan quantitatif, cette collection, constituée à partir de la récupération des fonds d’usines, associée à la générosité des derniers ouvriers, a connu des choix muséographiques multiples au fil du temps. La politique du "TOUT exposé" a aujourd’hui cédé la place à une exposition plus sélective valorisant un savoir-faire remarquable, reconnu au siècle dernier tant en Belgique que dans le reste du monde.
Un vestige archéologique industriel
Cependant l’idée de conserver et valoriser au musée cette archéologie industrielle remonte déjà à la fin des années 1960. En plein essor, mais contraint désormais à se développer hors du patrimoine bâti existant, le musée fait construire dans son périmètre immédiat un petit édifice en pierre de Mouzaive pour y installer un exceptionnel marteau de forge du XVIIIe siècle, sauvé du village des Hayons (Bouillon). Intégrant officiellement le musée en mai 1968, ce troisième édifice, inscrit à l’extrémité d’une charmante allée pavée le long de laquelle se déploie une très belle collection de taques de foyer, fut baptisé fort logiquement le Maka (mot wallon désignant le marteau de forge).
De l'usine au musée
Mais l’accroissement incessant de la collection, conséquence de la fermeture de l’usine Devillez-Camion qui légua à l’institution une part importante de son outillage industriel, va amener le musée à s’étendre à nouveau en 1994 grâce à la mise à disposition par la Ville de Bouillon d’un ancien corps de garde situé sur l’esplanade du château. Assez proche, mais malgré tout relativement excentré des infrastructures principales, ce bâtiment sera au fil du temps envisagé plus en termes de réserve que de surfaces d’exposition supplémentaires. Fermé au public depuis plusieurs années, il a été restitué à la Ville de Bouillon en 2012 pour l’aménagement de la salle du conseil communal. Les collections qui y étaient installées ont aujourd’hui migré vers d’autres réserves dans l’attente d’un lieu susceptible de les valoriser.